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31/05/2008

Oraisons charnelles de Marcel Moreau

Crédits photographiques : Marcelo del Pozo (Reuters).

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29/05/2008

Sur une île, stalker, quels livres emporteriez-vous ?, 7

Photographie de l'auteur.

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27/05/2008

L’arche brisée de la parole

Crédits photographiques : Uriel Sinai (Getty Images).

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26/05/2008

Sur une île, stalker, quels livres emporteriez-vous ?, 6

Photographie de l'auteur.

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22/05/2008

De l'art de la dissection : réponse à Olivier Noël

Photographie de F. Javier Alvarez Cobb, extraite de la série intitulée Autopsia, en référence à ce blog.


Retenons, du premier compte rendu d'Olivier Noël, la seule critique réelle adressée à Maudit soit Andreas Werckmeister !, à savoir, son «indécise oscillation entre essai et fiction».
Le reste du texte d'Olivier étant une paraphrase plus ou moins déguisée (à vrai dire, pas même déguisée : notre ami a au moins cette honnêteté toute simple de citer sans fard, à la différence des indigestes et aigrefines critiques journalistiques qui retranchent les guillemets et alignent des signes qui ne sont pas les leurs), le reste donc, étant in fine simple paraphrase, nul ne m'en voudra d'évoquer ce seul point puisque, lorsque Noël cesse de citer mon ouvrage, c'est pour écrire que «La parole d’Asensio en effet, sitôt incarnée par son narrateur, sitôt mise en fiction, se désincarne et revêt les atours agressifs du critique littéraire, alors même que pour faire mouche, son idée directrice exigeait d’être pleinement assumée comme brûlot polémique, ou, mieux, véritablement incorporée

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21/05/2008

Entretien avec Benoît Hocquet

Crédits photographiques : Dylan Martinez (Reuters).

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03/05/2008

Maudit soit Andreas Werckmeister !, toutes premières réactions, 2



En attendant l'apostille critique annoncée par Olivier Noël, apostille faisant logiquement suite à sa critique de mon dernier livre, voici la seconde lettre que Carmen Muñoz Hurtado m'a envoyée.
Elle constitue une réaction au texte d'Olivier qui, je l'espère, comprend quelque peu l'espagnol.
Non, il ne le comprend pas, comme il vient de me l'apprendre... ! Dans ce cas, je vais prier pour que notre bon transhumain reçoive, durant quelques minutes, le don des langues... Du reste, il n'est pas bien difficile de deviner que Carmen n'est pas exactement d'accord avec l'avis exprimé par Olivier.
Ayant déjà écrit ce que je pensais du texte de mon ami (pour que les choses soient parfaitement claires : son travail est pour le moment le seul et le plus complet réalisé sur mon livre), je me contenterai désormais de me servir de ce blog comme d'une caisse de résonance (au cas, bien sûr, où d'autres critiques seraient consacrées à Maudit soit Andreas Werckmeister !), constatant avec un certain plaisir que ce petit livre fait apparemment réagir ses tout premiers lecteurs.

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28/04/2008

Maudit soit Andreas Werckmeister ! : toutes premières réactions

Jean-Pierre Velly, Enfin, 1973
Jean-Pierre Velly, Enfin, 1973 (eau-forte et burin sur cuivre).


Un auteur qui n'a pas été publié par un éditeur se trouve à peu près dans un état voisin de celui du pucelage : peu ou beaucoup de théorie, aucune pratique (ou si peu, ou finalement si triste, solitaire).
Voilà ce que je répétais encore à Pierre Cormary, durant une soirée fort arrosée chez une amie commune. Cormary, fidèle à sa complexion, se déclarait, devant des convives pour le moins sceptiques (leur scepticisme cependant atténué par leur plus ou moins grande ivresse), très fier d'être, dans ce cas, un puceau.
Je crois même, mais mes souvenirs de cette soirée sont confus, qu'il m'affirma ne vouloir absolument pas perdre son pucelage.
Un auteur publié qui n'a pas encore essuyé le feu de la critique comme l'écrivent les journalistes n'est, à son tour, pas grand-chose de plus qu'un béjaune, disons un gars de l'infanterie qui, en guise de blessures, n'a rien vu de plus que celles de ses amis revenus du front. C'est déjà cela.
Ce n'est pourtant pas grand-chose.
Voici donc les toutes premières appréciations concernant, comme le remarque Olivier Noël, cet étrange livre en effet qu'est Maudit soit Andreas Werckmeister ! : en attendant un billet de Dominique Autié sur son blog, un article de Rémi Soulié à paraître en revue, en pouvant lire, d'ores et déjà, le texte sans concessions (tant mieux) de Noël, qui n'a pas vraiment relevé la dimension religieuse de mon livre (ce qui est normal, chez lui) et s'imagine (ce qui est plus étonnant) que je ne parle que de métaphores lorsque j'évoque le mécanisme de certains romans, voici le commentaire de Carmen Muñoz Hurtado (intitulé ¡ Bendito sea Andreas Vesalius !), que je reproduis ci-dessous puisqu'elle me l'a envoyé par courriel.

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24/04/2008

L'Opprobre de Richard Millet

Crédits photographiques : Charlie Riedel (Assoctiated Press).

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15/04/2008

2666 margaritas para los cerdos…, par Carmen Muñoz Hurtado

Photographie de John Vachon, Hoskins Mound, Texas, 1943
John Vachon, Hoskins Mound, Texas, 1943.


Ce texte fait suite à ma longue critique de 2666.

Estimado Juan.

Tu texto en torno a 2666 de Bolaño ha inspirado la escritura de estas palabras sueltas que te hago llegar con total admiración por tu pluma ácida, valiente y punzante. Tienes total razón al referirte, del modo que los has hecho, al ejercicio de la pseudo crítica literaria. Yo me sumo y meto en el mismo saco a los «literatosos de Chile», como los bautizó el gran poeta Gonzalo Rojas.
En mi país, la crítica no ha muerto, pues nunca ha nacido.
Esta larga faja de tierra siempre ha querido vivir a la sombra de Europa, agazapada como ave carroñera ante un cadáver que no le pertenece. Nuestros intelectuales, en el nacimiento de la República, quisieron remedar el modelo francés academicista, convirtiendo a la capital en una frágil maqueta de París. Vestían, fumaban, fornicaban, escribían, pintaban, esculpían y defecaban como un señorito francés. No sin cierta vergüenza, debo decir que en 1922 tuvimos una circense parodia de estertores vanguardistas, llamada Grupo Montparnasse, que pintaba a la manera del Cézanne juvenil, en la misma época en que el Gran Vidrio de Duchamp se trisaba en dos fragmentos.

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30/03/2008

Éric Marty, le dernier des Justes ? Sur Bref séjour à Jérusalem

Crédits photographiques : Hazem Bader (AFP/Getty Images).

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28/03/2008

La fadeur des blogs littéraires

Ceci est bien évidemment un nombril (pas le mien toutefois).


Il fallait bien que cela arrive puisque nous sommes dans le Réseau où la liberté est une idole aussi pure qu'une catin de Babylone. C'est donc arrivé, et c'est même arrivé à la vitesse habituelle à laquelle se propagent les ondes qui font doucement onduler la Toile ou bien la creusent de gouffres profonds : très vite.
C'est donc déjà fini.
Cela n'a même jamais existé et cette note évoque un sujet d'aussi palpable réalité que l'était la mystérieuse surrection d'un Dieu qui est un sur-étant-non-être, autant dire, selon Maître Eckhart : rien. Sur la Toile, les nouvelles les plus fraîches sont déjà anciennes, bien plus anciennes que les plus récentes informations des quotidiens, d'une existence encore plus courte que celle de la brève la plus éphémère d'un fil AFP.
Il est en effet difficile de lire à la vitesse de la lumière qui se déplace à quelque 300 000 kilomètres par seconde. C'est en pointant un puissant télescope vers le ciel profond, vers quelque très lointaine nébuleuse de la Vanité, tenant en outre compte de ce fâcheux décalage vers le rouge qui signale ce simple fait, absolument incontestable : l'espace est grand, presque aussi grand que le Réseau qui est peut-être infini, que je rends publiques mes toutes simples conclusions, mes très longues méditations sur ma propre pratique de Zonard.
Lorsque vous lirez ces lignes, leur point d'émission sera déjà affecté par l'effet Doppler. Me lire, c'est donc lire des mots vieux de quelques minutes ou de plusieurs heures, une éternité sur la Toile, des mots qui n'existeront plus.
D'abord, notre sujet.

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20/03/2008

Gershom Scholem et la lecture secrète de la Cabale

bp15.jpg

Crédits photographiques : Yanping Wang.

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18/03/2008

La Chute de la Maison Usher d'Edgar Allan Poe ou le vacillement divin

Crédits photographiques : John Rottet (The News & Observer).

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16/03/2008

Apologia pro Vita Kurtzii, 7 : Serviles servants de Tarik Noui

Crédits photographiques : Amy Sacka (National Geographic Photo Contest).

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11/03/2008

La Maison un dimanche de Pierre Boutang

Jack Delano, Near the waterfront, New Bedford, Massassuchets, 1941
Photographie de Jack Delano, Near the waterfront, New Bedford, Massassuchets, 1941.


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08/03/2008

Quatre années dans la Zone

Crédits photographiques : Julian Stratenschulte (AFP/Getty Images).

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03/03/2008

Les éditeurs et leur service de presse



Il me faut, parfois, comme durant cette soirée à laquelle m'a convié Philippe Pinault, le patron de Blog Spirit, afin de présenter la nouvelle version de sa plate-forme, préciser que je ne gagne, avec ce blog, pas un centime d'euro.
Bien sûr, cher monsieur, mais, entre nous, vous n'avez pas la dégaine philanthropique, et il y a tout de même le service de presse (SP, pour les habitués), non, qui vous envoie des livres gratuitement ?
Oui, il y a le service de presse qui m'a permis d'amasser un assez beau trésor de guerre : je précise, à toutes fins utiles, que je ne le dilapide point (comme le font nombre de journalistes indélicats), par exemple en revendant partie ou tout dudit magot, entassé sans le moindre effort de leur part, à Gibert. Je conserve au contraire très précieusement chacun des ouvrages que j'ai reçu par le service de presse, qu'importe que je l'évoque avec quelque retard, semaines ou mois, puisqu'on ne lit jamais, n'est-ce pas, le livre qu'on devrait lire au moment où une personne attentionnée ou seulement professionnelle accepte de vous l'envoyer.
J'ose espérer que nul n'osera se scandaliser que tant d'heures de lectures, de prises de notes, de relectures, d'écriture, de relecture de mes notes, de corrections, de mise en page, de réseautage ou plutôt d'agit-prop, reçoivent quelque maigre salaire tout de même !

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29/02/2008

Ernst Jünger par Luc-Olivier d'Algange

Crédits photographiques : Muhammed Muheisen (Associated Press).

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16/02/2008

Tout contre George Steiner et les éditions Allia

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11/02/2008

Cloverfield, l'Apocalypse exliquée aux bourrins

Jay Fine.jpg

Crédits photographiques : Thierry Montford/Biosphoto.

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09/02/2008

La bouche pleine de mots de Pierre-Emmanuel Dauzat

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Crédits photographiques : Simon Dawson (AP Photo).

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06/02/2008

Georges Bernanos, l'oublié de Plon

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30/01/2008

Synesthésies, 2

Crédits photographiques : Courtesy of Nikon Small World.

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26/01/2008

Apologia pro Vita Kurtzii, 5 : No Country for Old Men de Cormac McCarthy

Crédits photographiques : Mark Dadswell (Getty Images).

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23/01/2008

Journal d'une lecture, 5 : Le Tunnel de William H. Gass

Crédits photographiques : Matt Black

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20/01/2008

Spectres et trous noirs. Sur La Littérature à contre-nuit, par Jean-Luc Evard

Crédits photographiques : Shakil Adil (AP Photo).

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18/01/2008

Babel 17 de Samuel Delany

Crédits photographiques : Jim Urquhart (Reuters).

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16/01/2008

La vérité sur le cas de M. Gracq

Photographie (détail) de Juan Asensio.

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14/01/2008

Je dis nous de Guy Dupré

Crédits photographiques : Frazer Harrison (Getty Images).

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